18/03/2008
crise
En revanche, la consommation des ménages a progressé. Leurs dépenses ont augmenté de 0,5 % dans la zone euro, après avoir été stables au premier trimestre.
Les "turbulences financières, qui se voyaient venir, n'ont pas à interrompre la phase de reprise économique, qui se fait sur des bases solides, et n'ont pas à mettre un terme à une reprise qui favorise la création d'emploi et réduit le taux de chômage", a déclaré le commissaire chargé des questions économiques et monétaires Joaquin Almunia, dans un entretien au quotidien espagnol El Pais. En juillet 2007, le taux de chômage de la zone euro s'établissait à 6,9 %, alors qu'il s'élevait à 7,9 % à la même période l'année dernière.
En revanche, la croissance de 2008, prévue pour l'instant à 2,5 %, pourrait souffrir de la crise des "subprimes". "Je pense qu'il y a plus de risques de baisse pour l'an prochain (...) et probablement toutes ces turbulences réduiront la croissance européenne de quelques décimales", a déclaré le commissaire. "L'importance de l'impact dépendra de l'ampleur des conséquences (...) sur la croissance américaine", a-t-il ajouté.

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