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MICHEL PLATINI: "Milan, an example to remember" 9/4/2007



MILAN - "Dear Adriano...": the message of Uefa to Milan following the Super Cup started this way. President Michel Platini praised the Rossoneri's club in a way which was welcomed by Via Turati. The number one of Uefa had stated words of appreciation towards the club and the players also following Manchester United-Milan and Milan-Liverpool of the past Champions League edition.

At the end of the ninety minutes, Carlo Ancelotti analyzed this way the draw with Fiorentina:



"I'm very satisfied with the commitment shown today by my players on the pitch. A draw against Fiorentina three days after the Super Cup final can occur. However, I must outline the will of the team, in the second half, to reach the three points. following a balanced first half, in the second period we pressed more, we attacked at a high rhythm, but we lacked lucidity. Maybe we could have tightened our marking on Mutu better, but in any case I noticed the great character of the team.

"My necessity is that the team players well,no matter how many strikers I field. I believe that with one attacker on the pitch we gain balance, but surely we will have occasions to field two attackers. Now we shall surely recover Ronaldo who will be available for the match against Siena. With regards to the away game at Kiev, I haven't yet decided whether to play him or not."

Dans les deux pays, des dizaines de milliers de personnes se sont réfugiées dans des abris contre les tempêtes mais le manque de moyens de transport a contraint de nombreux habitants à rester dans leurs maisons battues par des vents violents et des pluies intenses. Si 40 000 Honduriens ont été évacués, quelques 15 000 personnes ont été contraintes de rester cloîtrées chez elles. "Ils n'ont pu être évacués à cause du manque de carburant pour les emmener en lieu sûr", a expliqué Carolina Echevarria, député hondurienne de Cabo Gracias a Dios, près de la frontière nicaraguayenne, en pleine trajectoire de Félix.



L'ambassade des Pays-Bas à Bogota ignorait son existence. "Maintenant que les journaux hollandais ont publié sa photo, ses parents vont probablement se manifester", explique la journaliste Judith Bedoya, qui a tenté de reconstituer l'histoire d'Eillen. La jeune femme serait venue pour la première fois en Colombie en 2000, à l'époque où les guérilleros des FARC, engagés dans un processus de paix, occupaient le sud du pays. Fascinée par la guérilla, elle aurait, deux ans plus tard, pris le maquis. L'ambassade des Pays-Bas à Bogota ignorait son existence. "Maintenant que les journaux hollandais ont publié sa photo, ses parents vont probablement se manifester", explique la journaliste Judith Bedoya, qui a tenté de reconstituer l'histoire d'Eillen. La jeune femme serait venue pour la première fois en Colombie en 2000, à l'époque où les guérilleros des FARC, engagés dans un processus de paix, occupaient le sud du pays. Fascinée par la guérilla, elle aurait, deux ans plus tard, pris le maquis.